Je me souviens juste de m'être levée

J'étais perdue entre rêve et réalité

Sans vraiment m'en rendre compte, j'ai avancé et ouvert la fenêtre,

Et ce que j'ai vu est toujours resté dans ma tête.

Je ne savais quelle heure il était

Seulement que le soleil se levait.

C'était un moment irréel,

Tellement que je me suis dit que j'étais en plein sommeil.

Il faisait noir, mais il y avait cette clarté

Qui avait l'air de persister à resister

Contre la sombre présence de la nuit

Et qui prenait de l'ampleur, petit à petit.

Pourtant, au début, je ne savais pas vraiment de quoi il s'agissait;

Mais plus j'essayais de comprendre, plus je m'y habituait,

Et plus j'appréciait ce moment.

C'est pareil pour toi.

Au début, je ne te connaissais pas...

Puis plus j'en savais à ton sujet,

Plus je t'appréciais.

Tellement que maintenant,

Je tiens vraiment à toi.

Voilà, c'est de là

Que te viens ce surnom,

Yoaike

Ce poème est dédié à un ami auquel je tiens beaucoup, et je ne l'ai pas écris pour une raison particulière, mais juste pour qu'il sache qu'il m'est cher  

(écrit pendant un petit coup de blues et j'avais la flemme de le taper à l'ordi XD)

Je sors avec mes amis,

Je m'amuse et je ris,

Mais au fond de moi tout est gris...

Je ne sais même pas pourquoi je suis aussi peinée!

Comment peut-on être si bien entourée

Et se sentir si triste, seule, vidée?!

Pourtant je fais comme si de rien était.

Comment pourrais-je leur raconter

Une chose que je ne peux pas expliquer?

Cette impression d'avoir un vide à la place du coeur

Que ma famille et mes amis ne peuvent combler....

Je pense savoir ce qui ne va pas:

C'est une chose dont j'étais fière hier

Mais qui me cause aujourd'hui tant de tracas

Eh oui, je suis célibataire!

Ce qui me manque, c'est quelqu'un.

Pas n'importe qui, il serait spécial,

Si spécial qu'il prendrait toute la place dans mon coeur

Et c'est surement celle qu'il devrait occuper qui me cause tant de douleurs...

Alors je l'attendrais

J'attendrais qu'il vienne

Prendre la place qui est sienne.

Et qui qu'il soit, je veux qu'il sache

Que je suis là à l'attendre  impatiemment,

Que je n'attend pas le prince charmant

Alors inutile qu'il se cache!

J'ai juste besoin de toi,

De t'aimer et que tu m'aimes aussi.

Alors je t'en prie,

Viens vite près de moi...

-il est un peu long mais bon... En passant, DEDICACE A TOUTES LES CELIBS' - XD

Une envie de tout casser

Comment cet homme que plus que tout j'ai aimé

Peut ainsi me reprocher de "ne pas en avoir fait assez"?!

Ses mots sont autant de flèches qui transperçent mon âme

J'aimerais crier à quel point j'ai mal.

Je ne sais vraiment pas ce que j'ai fait de travers!

Si je le savais, je jure que j'essayerai de tout faire

Pour réparer cette erreur.

Mais malheureusement, personne ne sais décrypter mon coeur.

Je n'ai plus la force de faire semblant.

Mais est-ce que les gens

S'en rendent seulement compte?

C'est vrai, j'ai perdu ma bonne humeur...

Pour la simple et bonne raison qu'en moi tout est douleur.

Ces personnes que je prennais pour mes amis

Qui, dès que j'ai besoin d'eux, fuient!

J'ai toujours été là pour eux.

Peut-être pensaient-ils que c'était normal

Sans se rendre compte que pour eux je me donnais tant de mal.

Mais moi, en attendant, personne ne me comprend.

Essayent-ils seulement?

Dorénavant tout m'est égal.

Ils peuvent bien me supplier

Tout ce qui m'importe c'est d’être en paix.

A trop s'occuper des autres, on oublie son propre bonheur;

C'est ce que j'ai compris tout à l'heure.

En même temps, il fallait s'y attendre:

Un allumeur et une bombe, c'est sûr que ça donne un résultat explosif!

Nous deux, on est pas des tendres...

Je fondais pour toi, tu me trouvais passionnée, passionnante.

Chacune de tes caresses me laissaient frémissante,

Mais faut croire que je me suis enflammée:

Tu t'es trouvé un autre canon

Alors comprend ma réaction!

Pour moi, la vie est une guerre;

Non content de m'avoir toute entière,

Tu m'as laissé me consumer

Avoue qu'au fond, de nous deux, tu t'en foutait!

Maintenant de notre amour il ne reste que des cendres froides....

C'est toi qui l'as cherché,

Ne viens pas pleurnicher,

Regarde moi les disperser,

Tu ne peux pas m'arrêter!

Tout ce qu'il t'arrive, tu l'as mérité!

Tu croyais maîtriser la petite allumette,

Mais c'est bête,

C'est un incendie que tu as déclenché.

Mon amour s'est transformé en ce feu dévorant de rage,

C'est pour ça qu'il n'est pas près de s'éteindre...

Il va t'immoler, ravager ta vie.

Et surtout, ne crois pas que je pleure: Je ris

Cette chance, je l'ai laissé passer

Uniquement pour cette fille, au nom de notre amitié.

Le cœur serré, je vous ai rapproché.

Vous voir si proches m'a déchirée!

Et je l'avoue, j'ai tout de suite regretté de l'avoir aidée,

Parce que je t'aime chaque minute un peu plus, et c'est seulement à ce moment que je m'en suis rendu compte.

A y repenser, j'en viens parfois à la détester, à la jalouser, et j'en ai honte.

Car c'est moi qui l'ai poussé dans tes bras...

J'aimerais tellement être à sa place, te sentir si près de moi!

Bon sang, je ressens tellement de sentiments contradictoires!

La douleur de te voir t'éloigner

La joie de la voir heureuse à tes côtés...

Je pourrais sûrement vous séparer et te récupérer,

Mais je tiens trop à cette fille pour pouvoir la briser.

Et même si ce n'étais pas le cas, je serais tellement submergée par les remords que je ne pourrais même plus me regarder dans un miroir,

Et encore moins profiter de la joie de t'avoir.

Du coup, je n'ai d'autre choix que de t'oublier,

Car je t'aime autant d'amour que je l'aime d'amitié.